Le but de cet article est de démystifier les idées préconçues que l’on peut se faire quand on veut rencontrer des élémentaux, également nommés êtres de la nature ou esprits de la nature.
Guidance de mes crânes de cristal vers les élémentaux
C’est sur l’impulsion de l’un de mes compagnons cristallins, que je me suis prêté au jeu lors d’une fin de semaine. Mes compagnons cristallins sont toujours mes guides pour me rendre sur un lieu précis lorsque je sors dans la nature. Lorsque je suis là où ils souhaitent m’amener, ils s’effacent et je ne les entends plus.
Voici ici la retranscription de l’une de mes sorties. Je me rends dans mon boisé habituel mais que je n’ai pas encore parcouru en intégralité. Sur les lieux, je salue la forêt et je m’oblige à vider mon esprit et à repousser toute pensée distrayante pour être dans l’instant présent. Dès l’entrée du boisé, je bifurque à gauche par réflexe. Mais cette fois-ci, j’entends de l’un de mes compagnons cristallins « Non à droite ». Je suis dubitatif car le chemin de droite ne s’enfonce pas dans le boisé mais au contraire longe une route passante. Je me laisse convaincre mais avec l’intention de faire demi-tour rapidement. En longeant le boisé, le soleil cesse d’être voilé par les nuages, un rayon de lumière passe à travers le feuillage des arbres mais juste à un seul endroit. Je prends ça pour un signe et me dirige vers cet espace éclairé et je rentre dans le boisé. Mon guide cristallin que j’avais en main me dit « Continue ». Je n’étais pas trop sûr de la direction, on dévie facilement dans un boisé. Et là je vois un peu plus loin une feuille qui bouge frénétiquement, la seule de toute la branche touffue à s’agiter. Rien d’autre ne bougeait autour. Je me dit d’accord, le message est clair! Plus loin, je tombe sur une rangée d’arbres qui s’enlignent non pas en ligne droite mais avec quelques courbures. Je n’étais pas dans une partie aménagée du boisé mais c’était une configuration remarquable. « Suis le chemin des arbres » j’entends. J’en profite pour ramasser des cochonneries jetées par-ci par là. L’une de mes offrandes est de prendre un sac pour ramasser tous les déchets sur mon chemin. Et je tombe sur un sentier. Nouvelle direction donnée, « Traverse le sentier et va à la rivière ». Bon… pas difficile, entre ce sentier et la rivière il n’y avait que 4m de broussailles mais surtout un aplomb important au-dessus du lit de la rivière. Là je dis à mes deux compagnons, hors de question de descendre. Je sens l’impulsion de longer par la droite. Mais comme le chemin longe aussi mais plusieurs mètres en retrait, je me dis « Arf pourquoi batailler dans les arbustes, longer depuis le chemin fera l’affaire ». Et là je ressens comme une piqûre dans le bras. Et à chaque fois que je voulais revenir sur le chemin, à nouveau une pointe de douleur mais toujours exactement au même endroit sur mon bras gauche. Je me sens obligé de longer par la broussaille finalement.
Je maugrée mais j’obtempère. Finalement, je descends un monticule et je me retrouve dans un lieu un peu clos. La rivière à ma droite, le sentier est invisible car il a bifurqué plutôt et c’est éloigné. J’ai juste eu l’intuition que j’étais arrivé à destination. Et comme habituellement dans cette situation, mes deux crânes de cristal sont silencieux.
De cette première partie, je souhaite simplement rappeler que c’est un mélange d’intuitions, de directions verbalisées, d’observations (feuille qui bougeait frénétiquement) et de stimuli physiques pour récalcitrant qui m’ont conduit à destination. Mais j’ai surtout laissé toute idée préconçue à l’orée du bois!
Un élément que j’ai appris à rechercher pour valider que j’étais dans un lieu fréquenté par les êtres de la nature est la présence de portes.
J’ai prise en photo l’une de celle qui délimitait le lieu dont je vous parle dans cet article. La voici (cliquez sur l’image pour l’agrandir) :
C’est la nature elle-même qui prend littéralement la forme d’une porte. Un jeune arbuste qui a une courbure complète et sans contrainte.
Ce n’est pas spectaculaire mais c’est tellement flagrant quand on se rend compte que c’est tout sauf typique de pousser ainsi.
Je ne raconte pas tout mais je vous choisis juste certains éléments. Parmi ceux-ci, je reprendrai un questionnement avec lequel j’étais rentré de ma sortie du samedi. Est-ce qu’il y a une différence entre un faune et un esprit de l’arbre ?
Guidance d’un esprit dragon
Dimanche, je ressens fortement l’envie de retourner sur les lieux. J’emprunte la porte d’entrée qui est en photo. Au seuil de la porte, j’ai mon crâne dragon en main cette fois-ci. En effet, les compagnons cristallins me donnent les chemins mais une fois arrivé, c’est l’esprit dragon qui prend le relai. En tout cas, j’ai toujours senti de faire ainsi.
Et là mon esprit dragon me dit lève les yeux, plus haut, allez… et là je vois cet arbre :
« Ca c’est un faune » me dit-il. Je n’ai pris en photo que son extrémité supérieure. Peut-être aurais-je du prendre un plan plus large.
Bon là, je vais vous décrire l’information que j’ai cru capter. Cela ne correspond pas à ce que Yann Lipnick dit, à ce que personne dit sur Internet d’ailleurs à ce sujet, donc à prendre avec beaucoup de recul et de mansuétudes de votre part. J’utilise donc le conditionnel.
Les arbres seraient habités par des esprits de l’arbre. Ils sont attachés à l’arbre dès le jeune âge. Lorsqu’un arbre tombe, suite à une tempête par exemple, l’esprit reste dans l’arbre plusieurs jours. Il a une certaine souffrance. L’idéal est de ne pas bucheronner l’arbre avant que l’esprit ne l’ait quitté. Les élémentaux restent auprès de lui pendant cette période.
Les faunes sont des arbres, mais ces êtres sont bien plus rares. À la différence des esprits de l’arbre, ils peuvent quitter leur arbre temporairement mais pas s’en éloigner beaucoup et longtemps. Ou seulement pour s’installer dans un autre arbre. Un autre point important, un faune abrite de nombreux élémentaux, dans les branches, dans le tronc mais surtout à son pied. D’ailleurs j’ai failli marcher sur leur habitat. Heureusement que mon esprit dragon m’a grondé à temps! (Réjouissez-vous si vous avez un dragon à la voix cristalline qui vous remplit d’amour, le mien grogne, me secoue et me donne des directives en permanence). Cet habitat était assez marquant mais je n’ai pas senti que j’avais le droit de le prendre en photo.
C’est plus facile de rentrer en contact avec un faune qu’avec un esprit de l’arbre. Bon personnellement, je suis incapable de communiquer avec le moindre élémental, j’apprends simplement à les détecter. C’est mon esprit dragon qui est mon interprète.
Je prends maintenant un autre exemple. Si je reviens à ma sortie du samedi, je fais maladroitement des offrandes (pfff je sais faut pas être dans le jugement ou le dénigrement mais je me mets une note passable là-dessus). Je me rappelle simplement du bon conseil d’une amie d’énergiser avec mes mains le miel que je leur verse sur des feuilles (feuilles que je ne cueille pas).
Ensuite, mon esprit dragon me dit d’aller à la rivière. J’ai l’intuition du rocher au milieu du courant sur lequel m’assoir. Lui plus qu’un autre, pourquoi? Ben, c’est en m’y rendant, en m’y asseyant fasse à la communauté que je me retrouve nez à nez avec lui :
La photo ne rend vraiment pas justice à ma vision depuis le rocher. J’avais vraiment l’impression de me retrouver devant le chef de la communauté, avec ses deux yeux, sa bouche et ses extensions (que l’on ne voit pas) mais qui courent loin et supportent tout le sol du lieu délimité par les portes et les faunes.
Je n’ai pas réussi à communiquer avec lui, je lui ai enlevé tous les détritus autour, je lui ai fait une offrande et j’avoue simplement l’avoir regardé.
Ce jour là, j’ai observé des lumières mauves se déplacer dans la rivière. J’ai une formation scientifique donc mon premier réflexe est de me dire que c’était de la persistance rétinienne qui me jouait des tours puisqu’il faisait un grand soleil et que j’étais exposé à des reflets de l’eau. Mais les mouvements imprimés de ces lumières étaient particuliers.
C’est quand on s’y attend le moins, que l’on a aucune attente de ce que l’on veut voir, qu’on perçoit.
Une des rares choses que mes expériences me permettent de corroborer par rapport à ce qui ce dit sur Internet, est que ce sont les esprits de l’eau qui sont les plus susceptibles d’être votre premier contact avec des élémentaux. Les esprits de l’eau sont ceux qui poussent le plus vers la réconciliation de tous.
Pour une lecture paisible, vous avez la possibilité d’imprimer l’article :
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Samuel :
Bonjour Chloé. Cet article est parmi mes tout premiers. J’avais eu des ressentis, des messages lorsque je prenais ces photos mais j’avoue ne pas avoir vu à ce moment-là ce que tu viens de déceler!!!
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Samuel :
Ici dans cet article, c’est à un tout autre endroit. J’étais guidé comme la première fois mais j’étais incapable de savoir si ceux qui m’accompagnaient étaient les mêmes…
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Vous lire me remplit de joie, merci beaucoup pour ces partages =) ☼ ♥
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Samuel :
Merci de votre encouragement. Je vais préparer un autre article spécifiquement sur les esprits de la nature.
Bonjour , j’adore vos photos et moi aussi j’aime aller dans la nature prendre des photos. À chaque fois que je suis sortie des sentiers, j’ai été récompensée car c’est là que tout ce beau monde se montre à nous !!
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Samuel :
Il y en a que j’aurais aimé publier mais je n’avais pas ressenti en avoir leur autorisation pour l’instant. On se laisse surprendre à chaque fois que l’on va au contact d’eux 🙂
Bonjour Samuel,
J’ai beaucoup souri en lisant cet article. J’aime beaucoup ton humour et ton humilité. Ta simplicité aussi ! J’ai découvert ton site il y a quelques mois et je lis, progressivement, cette mine d’informations … Je ressors toujours de ces lectures avec un profond sentiment de gratitude, d’émerveillement. Merci de partager avec nous tes découvertes et ton cheminement.
Amicalement,
Bonjour Samuel,
Je découvre ton site après une coïncidence très curieuse avec les nombres miroirs, les anges.. enfin une longue histoire 🙂 et je suis agréablement surprise car je me dis « je vais lire un de tes textes-articles » (celui là donc) ; et il se trouve que je suis très touchée par celui-ci.
Les êtres de la nature me font signes au quotidien, enfin quand je suis ouverte…
Sur ta première photographie on perçoit très bien le peuple varié mais aussi un protecteur animal, très beau, je ne sais si tu l’as vu mais il veille 😉
Je vais m’empresser continuer la lecture de tes pages. Merci beaucoup.